J'ai l'impression qu'on est plusieurs à eprouver le même désespoir, espérons passager. Les fêtes de fin d'années et les habituelles discussions-débats autour de repas familiaux semblent nous avoir pas mal déssoudés. La constat est sensiblement le même pour tous : ça fait mal, mais on est dans la merde. Réellement. Et surtout "on" est seuls.